Théât ' L ' antic




Nos productions 1990 à 2000


2000 ____________________________

Le Cabaret de la p’tite misère
Textes de :
Sonia Branglidor, Jean-Jacques Devaux, Victor Haïm, Guillaume Hasson, Bernard Périllat, Frédéric Sabrou, Daniel Soulier




"L’exclusion, ça gagne..." Une brève de comptoir qui ne ferait rire personne, et pourtant...
Ce cabaret là "fouille, farfouille même" dans les "objets perdus" de notre monde contemporain.
Bien sûr, les planches grincent parfois sous le poids de mots lourds tels que médiation, chômage, extrémisme, on évite, par le rire, le piège du misérabilisme.
S’excuse t-on d’être exclus ? Qui exclut, et de quoi ? Qui excuse qui et qui condamne ? Certains en pleurent d’autre en rient. A force d'exclure, les inclus ne risquent-ils pas d'être exclus ?
       

Ce "cabaret bouffe" croque avec des dents acérées les fruits amers de la société contemporaine ; et si les planches grincent parfois sous le poids de mots lourds tels que médiation, chômage, extrémisme, on évite, par le rire, le piège du misérabilisme.


Festival du Théâtre amateur de Lescar 2001
Prix de l'Originalité
Prix de la Technique


1999 ____________________________
Garofolies Création ( théâtre, chanson, danse )

Avec Grofolies, nous avons souhaité créer un spectacle avec plusieurs formes d'expressions. Nous avons donc fait appel à d'autres personnes pour représenter ces diverses formes d'expressions. De bouche à oreille, un couple de danseurs, une chanteuse, des conteurs se sont joints à nous.
        Il restait à définir la forme de spectacle. Après une petite réunion la nécessité d'un fil conducteur, était évidente. Caque acteur de  sa forme d'expression est donc reparti chez soi avec comme consigne de rechercher un fil conducteur de sa forme d'expression.

        Après quelques semaines de réflexion et lors d'une brève entrevue, chaque forme d'expression s'est vite rendue à l'évidence, le théâtre était le fil conducteur le plus porteur.
La pièce de Jean Tardieux "Le Guichet" a donc lié toutes les autres formes d'expressions. Deux autres textes figuraient au programme, "Caen" de Raymond Devos et "Racisme..." de Guy Foissy.



1997 - 1998 _____________________

Elle voit des nains presque partout
de Philippe Bruneau



1996____________________________
Histoire d’eau Création sur des textes de Dubillard

1995 - 1996 _____________________

Portrait de Famille de Denise Bonal


Louise : Il y a des gens qui ont une carte d’identité française mais ils sont quand même des étrangers en dedans, il n ‘y a rien à faire, ils n ‘y peuvent rien. Si ça ne tenait qu’à moi, il n ‘y aurait plus d’étrangers dans le monde, on serait tous pareils, on serait tous des... des...
Raymond : des apatrides.
        "Portrait de famille" de Denise Bonal est une comédie quotidienne sur un fond tragico-comique.
La banlieue traîne son désespoir mêlé d’espérances, de désirs, de joies et de peines.
        Ces gens sont vous, sont nous; ils sont la vie des autres vue à travers le regard des autres.


         Ce sont "des gens qu ‘on ne regarde jamais sauf quand ils attirent la méfiance et alors on le regarde trop ".
        Et si l’on en vient un jour de mariage à la pratique du kidnapping, c’est pour que leur tragédie sombre dans une comédie ou le loufoque côtoie la dérision.
        
 " Portrait de Famille " de Denise Bonal a été crée à Bordeaux du 12 au 20 avril 1991 par le " Théâtre à Coulisse" voici un extrait de presse :
        “Portrait de famille” est une comédie, grinçante, acerbe mais résolument drôle. La pièce est construite sur un va-et-vient permanent entre humour et drame, dérision et tragique.

        En désamorçant, par un éclat de rire, le drame embusqué derrière chaque mot, elle fait irrémédiablement penser, référence oblige, à la Comédie Italienne, traitée avec la démesure énergique et simple des premiers films d’Ettore Scola. Le monde mystérieux tapi derrière les barrières de ZUP, de ZEP, de TUC, de SIVP, de RMI, nous est montré, cru, dans son humanité un peu affreuse, un peu sale et souvent méchante.
  
    Et pourtant, la tendresse est présente sous les mots, derrière ces trognes de “durs au mal” que les personnages de Denise Bonal se sont façonnés. Elle s’exprime dans le double langage de Louise, la

mère, dans ce monologue intime où s'épanchent d’anciennes blessures ; elle vibre dans la douceur maladive d’Albert, trop malchanceux pour même réussir ses suicides ; elle soutient Patrick dons son obstination à épouser Assia. Tous ces personnages ne sont des méchants qu’en surface, parce qu’après tout, personne jamais ne leur a fait de cadeaux. Ils sont les loosers d’une société artificiellement épanouie, sous amphétamines publicitaires ; les “à côtés” d’un monde-vitrine peuplé d’hommes libres et égaux. Eux, ils sont simplement du mauvais côté de la vitrine.
  
        Denise Bonal donne, en fait, la parole à ceux qu’on n’entend jamais.
        Louise : «Nous, on est des gens qu’on nous regarde jamais, sauf quand on attire la méfiance et alors on nous regarde trop...».
        “Portrait de famille”, c’est, surtout, du théâtre contemporain, du théâtre urbain, du théâtre en urgence. C’est la ballade très gaie d’une tranche de vie “dans le brouillard”.


Festival de Théâtre de amateurSaint Etienne-de-Baïgorri
 1996 Prix de la mise en scène




1994 ____________________________


Toi, Moi et le Blues
Création à partir de danses et de textes de chansons



1993 ____________________________

Cherche à couillonner mézigue
 de Luis Régo


1992 ____________________________

Ça sketch au Polo
Smaïn, Desproges, Robin.....

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Fête de la poésie

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Mosaique
Création à partir de textes de chansons

Cette soirée a été présentée le vendredi 10 juillet 1992 la Maison des Jeunes et de la Culture du Polo-Beyris Bayonne.
    Ce spectacle a été mis en scène par la Compagnie Théâtre El Hogar et Pantxo était à la guitare. Au programme, voici les textes lus et les auteurs :

Je t'aimeJ. Brel
Jeff                                            J. Brel
BlancheP. Perret
Mon p'tit loupP. Perret
Comme ils disentC. Aznavour
Comment tuer l'amant de ma femme ?J. Brel
Que serai-je sans toi ?Aragon
Bref !Barbara
DrouotBarbara
Déshabillez-moiR Nyel
Les vieux amants J. Brel
Amants destroyThiéfaine
L'orageG. Brassens
Les 4 femmes de ma vieR. Lamoureux
La chanson de PrévertS. Gainsbourg
Mon frèreS. Lama




1990 - 1993 _____________________

Les méfaits du tabac
Anton Tchekhov


1990 - 1991 _____________________

Le pain de ménage
Jules Renard

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Amour et Piano
Georges Feydeau

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La peur des coups
Georges Courteline

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Une lettre chargée
Georges Courteline